La microkinésithérapie aide l’organisme à éliminer les traces d’agressions
physiques, les blessures et chocs émotionnels accumulés au long de la vie.
Cette technique est adaptée à tous les âges de la vie, du nourrisson au senior.
La microkinésithérapie aide l’organisme à éliminer les traces d’agressions physiques, les blessures et chocs émotionnels accumulés au long de la vie. Cette technique est adaptée à tous les âges de la vie, du nourrisson au senior.
Au quotidien, le corps humain est confronté à des agressions extérieures de différentes origines : traumatiques (chocs, coups..), émotionnelles (stress, deuil..) ou environnementales (virus, microbes, pollution, ondes..).
Dans la majorité des cas, le corps a la capacité de se régénérer, de s’auto-réparer, en ayant une réponse adaptée à ces agressions.
Cependant, dans certains cas, l’agression n’est pas reconnue par l’organisme. Celui-ci n’a alors pas la capacité de se défendre et une « mémoire » de cette agression va s’inscrire sur un tissu. Ceci arrive lorsque l’agression est trop forte ou qu’un trop grand nombre d’agressions arrive à la fois.
Cette mémoire appelée cicatrice pathogène vient altérer la vitalité d’un tissu (organe, articulation, muscle ou système nerveux).
A plus ou moins long terme, cette cicatrice va créer localement ou à distance, un symptôme, ou une douleur physique ou psychique (trouble du sommeil, agoisse, stress…), voire une maladie.
La microkinésithérapie permet de localiser les cicatrices pathogènes, puis en stimulant les zones correspondantes, de réinformer le corps et de relancer les mécanismes d’auto-réparation afin de permettre leur élimination.
La personne explique les motifs de sa consultation au praticien puis s’installe allongée sur la table de massage en restant habillée. Le microkinésithérapeute l’ausculte avec ses mains à la recherche des cicatrices pathogènes (étiologie responsable du symptôme évoqué) mémorisées par le corps du patient.
Le praticien recherche ensuite le symptôme associé ainsi que sa localisation. Le thérapeute relance le mécanisme d’auto-réparation en stimulant la cicatrice pathogène par rapport à l’étiologie.
Le corps entame le processus d’auto-réparation dès la fin de la séance. Cela peut entraîner une fatigue durant 1 à 2 jours. Pour faciliter ce travail durant cette période: hydratez vous régulièrement et évitez toute activité intense.